petite fleur,
tu blesses mon cœur
d' une tristesse monotone,
comme dites par le grand Prévert
et c' est dur pour un soixantenaire.
mais enfin endormi,
j' entends des violons contrits
et les notes s' envolent en sonnent
ta voix
et ça me joie.
tu blesses mon cœur
d' une tristesse monotone,
comme dites par le grand Prévert
et c' est dur pour un soixantenaire.
mais enfin endormi,
j' entends des violons contrits
et les notes s' envolent en sonnent
ta voix
et ça me joie.
votre poème me réjouit aussi
BeantwoordenVerwijderenmerci, k. , aan een geboortentje opgedragen... haar naam was me al jaren bekend...
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